Les impossibilités de constructions pour les pyramides

1. L'utilisation de rampes ayant un pourcentage supérieur à 10 %.

2. Les rampes masquant les arêtes, impossible de construire à l'aveugle.

3. Les rampes enveloppantes en briques de terre, d'une largeur de 20m, une telle masse ne peut pas tenir sur une pente à 51°, même avec des blocs d'accrochages, au premier orage cette masse va glisser. Où vont les eaux d'écoulements ?...elles dévalent sur ces rampes....

4. Les rampes frontales ou perpendiculaires. Leurs longueurs et leurs volumes ne sont pas envisageables.

5. L'élévation à l'aide de contre-poids, que ce soit, eau, sable ou pierres. A chaque manœuvre il faut remonter les contre-poids sur toute la hauteur.

6. Les machines, genres chadoufs, accrochées aux parois des faces de pyramides. Aucune machine ne pourrait élever les milliers de blocs de parement de 5 à 15 tonnes et surtout pas les dalles de plafond.

7. La construction par accolement de tranches de maçonneries où il faudrait après chaque tranche, déplacer les échafaudages. Les conduits et la grande galerie déboucheraient dans le vide, impossible de construire en 20 ans.

8. Le déplacement des monolithes de plusieurs centaines de tonnes. Même avec des milliers d'ouvriers, la masse restera plaquée au sol.

9. L'éclatement des blocs de granites avec des coins en bois. Ce sont les coins qui vont s'écraser, il faudrait des bois beaucoup plus gros.

10. L'élévation de blocs de plusieurs tonnes par torsion des cordes. Les cordes arrivent à saturation de torsions et il y a déchirement des fibres extérieures.

11. La fabrication des moellons en pierre reconstituée.

12. Le stockage des blocs de parement de 2 à 2,50 m de profondeur et 4 à 5 m de large, sur des assises de 0,70 m de moyennes, laissées en ressauts mêmes doublés, ce qui doublerait aussi la hauteur.

13. La construction du parement en commençant par le haut, c'est impossible de glisser des blocs sous ceux du dessus.

14. La construction par accrétions pour une pyramide constituée en grande partie d'entassements de moellons non équarris.